Rues commençant par M
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Rues
Plaques | Désignations |
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Rue Macheret : Rue créée par la famille Macheret dans l'enclos de l'ancienne ferme Saint-Laurent, elle prend son nom actuel le 25 avril 1867 en hommage à ce propriétaire qui l'a offert à la ville en 1865[1]. | |
Rue Marcel Rivière : Marcel Rivière (1901-1960), est un instituteur français, militant syndicaliste et mutualiste. Il fut le premier président de la Mutuelle générale de l'Éducation nationale (MGEN). Il enseigna à Lagny de 1920 à 1941. Située dans le lotissement Orly-Parc, cette rue est dénommée ainsi le 26 juillet 1962[1] | |
Rue des Magnolias : Initialement appelée rue des Camélias et créée dans le lotissement La Bellevue vers 1925/1930, cette rue prend son nom actuel le 13 février 1986[1]. | |
Rue des Marchés : Initialement partie haute de la Grande rue du Pont-de-Marne. En 1781, elle devient Grande rue du Marché et prend son nom définitif le 26 juin 1851. Elle prit temporairement le nom de rue des Poilus du 15 octobre au 15 novembre 1920, nom rejeté par les habitants.[2]. | |
Rue de Marne : C'est la réunion de deux rues le 10 mai 1890, Au sud, Petite rue de Laval et Rue du Peitt-Abreuvoir au nord[2] | |
Rue Marthe Aureau : Voie construite pour permettre la vente de terrains. Cette rue, en face de l'hospice, s'est appelée rue de l'Hospice. Son créateur, père de Marthe Aureau la cède à la ville en 1881 à la seule condition que cette rue prenne le nom de sa fille. Entre le 29 avril et 26 aout 1925, cette rue prend le nom du maire décédé (colonel Durant), cette décision est annulée pour respecter l'accord donné[3]. | |
Rue Maurice Ravel : Maurice Ravel (1875-1937), est la figure la plus influente de la musique française de son époque et le principal représentant du courant dit impressionniste au début du XXème siècle. Son œuvre, modeste en quantité (quatre-vingt-six œuvres originales, vingt-cinq œuvres orchestrées ou transcrites), est le fruit d'influences variées s'étendant de Couperin et Rameau jusqu'aux couleurs et rythmes du jazz, dont celle, récurrente, de l'Espagne. Cette rue est créée dans le lotissement du Chateau'de'Chgny le 9 décembre 1971[4]. | |
Rue Maurice Touquoy : Maurice Touquoy (1901-1978) est un conseiller municipal de Lagny qui a étudié l'histoire de la ville. Son action fut importante au niveau social et culturel. Cette rue est créée dans le lotissement La Bellevue vers 1925/1930[4]'. | |
Rue de Metz : Son nom vient de la commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine[4]. | |
Rue Milon de Lagny : Milon de Lagny est un écrivain du XIIème siècle[4] | |
Rue des Mimosas : Rue créée dans le lotissement Le plateau vers 1925/1930[4]. | |
Rue du Muguet : Rue créée dans le lotissement La Bellevue vers 1925/1930[4].. |
Allées
Plaques | Désignations |
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Allée Marcel Remond : Marcel Remond (1876-1957), est maire de Lagny-sur-Marne de 1938 à 1944. Allée créée en 2019 dans le lotissement Saint-Jean[5]. | |
Allée des Marronniers : Allée privée au lieu-dit Sous-le-bois-de-Chigny nommée en 1977[3]. | |
Allée Maxime Vernois : Maxime Vernois (1809-1877), est un médecin hygiéniste français. Il consacre sa pratique à l'hygiénisme à partir de 1853 et publie en 1860 un Traité pratique d'hygiène industrielle et administrative: comprenant l'étude des établissements insalubres, dangereux et incommodes qui lui vaut d'être élu à l'Académie nationale de médecine en 1861. Il est médecin consultant de l'empereur Napoléon III. Cette allée est créée dans la ZAC des Hauts-de-Lagny le 10 décembre 1980[4]. | |
Allée Maximilien Luce :Maximilien Luce (1858-1941), est un peintre français. Militant libertaire, il produit de nombreuses illustrations engagées politiquement. Il est également graveur, portraitiste et affichiste. À partir de 1885, et durant une quinzaine d'années, il s'inscrit dans le mouvement néo-impressionniste : il use de la technique du divisionnisme (ou pointillisme), développée par Georges Seurat. Il revient par la suite à une facture plus classique, mais qui garde l'harmonie et la luminosité de sa première période. Il fait partie des quatre néo-impressionnistes du Groupe de Lagny (Léo Gausson, Émile-Gustave Cavallo-Péduzzi, Maximilien Luce et Lucien Pissarro) qui ont mis en valeur l'éclat et les couleurs des bords de Marne. Ils ont utilisé une technique « scientifique », le divisionnisme, plus connue sous le nom de pointillisme. Cette allée est créée dans la ZAC des Hauts-de-Lagny le 25 avril 1975[4]. | |
Allée des Mésanges : Allée créée dans le lotissement du Bras-Saint-Père vers 1977[4] |
Avenues
Plaques | Désignations |
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Avenue du Mal de Lattre de Tassigny : Jean de Lattre de Tassigny, (1889-1952), est un officier général français. Héros de la Seconde Guerre mondiale, compagnon de la Libération, il est élevé à la dignité de maréchal de France à titre posthume. Jeune officier lors de la Première Guerre mondiale, il se bat sur différents fronts, dont Verdun. Au début de la Seconde Guerre mondiale, en mai-juin 1940, plus jeune général de France, commandant la 14e division d'infanterie lors de la bataille de France, il tient tête aux Allemands à la bataille de Rethel, en Champagne-Ardenne et sur la Loire, continuant à se battre jusqu'à l'armistice du 22 juin 1940. Cette voie est créée vers 1876. Elle rejoignait Noisiel en passant par Saint-Thibault-des-Vignes et Torcy. Elle prend son nom actuel le 29 mai 1920, mais sur protestation des habitants, ce nom est mis en suspens jusqu'au 29 février 1952, date de son officialisation[2] | |
Avenue du Maréchal Juin :Alphonse Juin (1888-1967), est un général d'armée élevé à la dignité de maréchal de France. Il fut l'un des grands chefs de l'armée de libération en 1943-1944 et il s'illustra surtout à la tête du Corps expéditionnaire français en Italie qui, le 13 mai 1944, remporta la victoire du Garigliano, ouvrant les portes de Rome aux Alliés qui piétinaient devant le monte Cassino. Il est le seul général de la Seconde Guerre mondiale à avoir été élevé à la dignité de maréchal de France de son vivant, en 1952. Cette avenue est créée vers 1970/1972 dans un lotissement de la propriété Le Paire [6]. | |
Avenue des Marguerites : Avenue créée dans le lotissement Les Coteaux vers 1925/1930[6] |
Chemin
Plaques | Désignations |
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Chemin de Mortcerf : | |
Chemin des Marâtres : Le nom de ce chemin n'est pas fixé, il peut s'appeler Marates, Marattes ou Marâtres. Son nom rappelle la présence de petites mares[1] |
Place
Plaques | Désignations |
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Place du Marche Au Blé : La démolition de la halle au blé en 1836 permet d'agrandir cette place qui prend ce nom en 1784[2]. | |
Place du Maréchal Foch : Maréchal Foch (1851-1929), est un général, maréchal de France et membre de l’Académie française. La dernière année du premier conflit mondial, au printemps 1918, il est nommé commandant en chef des forces alliées sur le front de l'Ouest. Il est élevé à la dignité de maréchal de France, et c'est avec cette distinction qu'il planifie et mène l'offensive générale qui force l'Allemagne à demander l'armistice, le 11 novembre 1918. Il fait partie des signataires alliés de l'armistice de 1918 conclu dans la clairière de Rethondes. Après la guerre, il est élevé à la dignité de maréchal du Royaume-Uni en 1919, puis à celle de maréchal de Pologne en 1923. Initialement appelée butte Marat en 1794, cette place servait aux discours et hymnes patriotiques. Par manque d'entretien, cette bute finit par détruite et nivelée et prend le nom de place de la paix en 1797. Plus tard, cette place sert aux revues de la Gare nationale et prend le nom de place d'Armes le 26 juin 1851 et renommée le 22 avril 1929 en place du Maréchal Foch, cette place est actuellement un parking[2]. | |
Place Marcel Pouzol : Marcel Pouzol (1892-1973), est le fondateur de la Société historique en 1954 et est à l'origine de la rénovation du Musée municipal en 1955. Son nom est donné à un rond point le 25 janvier 1974[1] | |
Place Marchande : Située près des remparts, elle rappelle l'accostage des marchands. Initialement appelée Port du port en 1382, puis Place proche de la porte Marchande en 1670 et Place du Paradis en 1733, elle prend son nom actuel le 26 juin 1851[1] | |
Place Mira : Nom donné à cette place en l'honneur de la ville portugaise jumelée avec Lagny le 20 octobre 2001. |
Boulevard
Plaques | Désignations |
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Boulevard du Maréchal Gallieni : Maréchal Galliéni (1849-1916), est un militaire et administrateur colonial français. Il prend une part active à l'expansion et à la consolidation de l'Empire, notamment en Afrique, au prix de méthodes dont la brutalité culmine avec le massacre des Menalamba à Madagascar. Pendant la Première Guerre mondiale, gouverneur militaire de Paris, il prend notamment la décision de réquisitionner les taxis parisiens pour apporter du renfort à la bataille de l'Ourcq. Il est élevé à la dignité de maréchal de France à titre posthume, en 1921. Initialement nommée Boulevard de Laval, ce boulevard prend le nom de Boulevard du Général-Galliéni le 28 juin 1920 avant que le Général soit remplacé par Maréchal le 12 juillet 1921[2]. |
Pont
Plaques | Désignations |
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Pont Maunoury : Pont Maunoury Joseph Maunoury (1847-1923), est un maréchal de France. Il sera l'un des rares généraux de la guerre invités à la signature du Traité de Versailles. Ce pont reçoit son nom actuel le 9 février 1934[3]. |
Références
- ↑ 1,0, 1,1, 1,2, 1,3, 1,4 et 1,5 Les rues de Lagny-sur-Marne, Musée Gatien-Bonnet, juin 1995, page 27
- ↑ 2,0, 2,1, 2,2, 2,3, 2,4 et 2,5 Les rues de Lagny-sur-Marne, Musée Gatien-Bonnet, juin 1995, page 28
- ↑ 3,0, 3,1 et 3,2 Les rues de Lagny-sur-Marne, Musée Gatien-Bonnet, juin 1995, page 30
- ↑ 4,0, 4,1, 4,2, 4,3, 4,4, 4,5, 4,6, 4,7 et 4,8 Les rues de Lagny-sur-Marne, Musée Gatien-Bonnet, juin 1995, page
- ↑ Procès verbal de la réunion du conseil municipal du 12 septembre 201
- ↑ 6,0 et 6,1 Les rues de Lagny-sur-Marne, Musée Gatien-Bonnet, juin 1995, page 29