Rues commençant par J : Différence entre versions
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| − | ||| '''Rue Jacquard''' : ''[[WP:Joseph Marie Charles dit Jacquard|Joseph Marie Charles dit Jacquard]]'' (1752-1834), est un inventeur français, à qui l'on doit le métier à tisser mécanique programmable dit métier Jacquard. ]], (1752 - 1834), est un inventeur français, à qui l'on doit le métier à tisser mécanique programmable dit métier Jacquard. Initialement, cette rue s'appelait ''Chemin de la Justice'' en 1255, puis ''de Vieille Justice'' en 1597. Le 24 septembre 1971, ce chemin est débaptisé et prend le nom de Rue Jacquard<ref name="page23">''Les rues de Lagny-sur-Marne'', [[Musée Gatien-Bonnet]], juin 1995, page 23</ref>. | + | ||| '''Rue Jacquard''' : ''[[WP:Joseph Marie Charles dit Jacquard|Joseph Marie Charles dit Jacquard]]'' (1752-1834), est un inventeur français, à qui l'on doit le métier à tisser mécanique programmable dit métier Jacquard. ]], (1752 - 1834), est un inventeur français, à qui l'on doit le métier à tisser mécanique programmable dit métier Jacquard.<br>Initialement, cette rue s'appelait ''Chemin de la Justice'' en 1255, puis ''de Vieille Justice'' en 1597. Le 24 septembre 1971, ce chemin est débaptisé et prend le nom de Rue Jacquard<ref name="page23">''Les rues de Lagny-sur-Marne'', [[Musée Gatien-Bonnet]], juin 1995, page 23</ref>. |
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|[[File:L1094 - Plaque de rue - Jacques le Paire.jpg|130px]]|| '''Rue Jacques le Paire''' : Initialement appelée ''Faubourg de la porte Marchande'' en 1733, puis ''le chemin qui conduit du faubourg Vacheresse à la rivière'' en 1799, puis ''le chemin de ronde de la ville'' en 1842 et en 1843, nom original ''Chemain de sainture de la ville de Lagny conduissant chez Monsieur Lepaire''. Le 26 juin 1851, cette rue prend son nom actuel. Jacques Le Paire était le grand-père de l'historien local [[Jacques-Amédée Le Paire]]<ref name="page23"/>. | |[[File:L1094 - Plaque de rue - Jacques le Paire.jpg|130px]]|| '''Rue Jacques le Paire''' : Initialement appelée ''Faubourg de la porte Marchande'' en 1733, puis ''le chemin qui conduit du faubourg Vacheresse à la rivière'' en 1799, puis ''le chemin de ronde de la ville'' en 1842 et en 1843, nom original ''Chemain de sainture de la ville de Lagny conduissant chez Monsieur Lepaire''. Le 26 juin 1851, cette rue prend son nom actuel. Jacques Le Paire était le grand-père de l'historien local [[Jacques-Amédée Le Paire]]<ref name="page23"/>. | ||
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|[[File:L1680 - Plaque de rue - Rue Jean Elie.jpg|130px]]|| '''Rue Jean Elie''' : Rue créée par l'entrepreneur Jules Léon Bouillon vers 1900/1905 dans sa propriété. Ce sont les deux prénoms de son père ''Jean Elie Bouillon''<ref name="page23"/>. | |[[File:L1680 - Plaque de rue - Rue Jean Elie.jpg|130px]]|| '''Rue Jean Elie''' : Rue créée par l'entrepreneur Jules Léon Bouillon vers 1900/1905 dans sa propriété. Ce sont les deux prénoms de son père ''Jean Elie Bouillon''<ref name="page23"/>. | ||
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| − | ||| '''Rue Jules Massenet''' : ''[[WP:Jules Massenet|Jules Massenet]]'' (1842 - 1912), est un compositeur français. Il a laissé une œuvre essentiellement lyrique (vingt-cinq opéras), mais aussi pianistique et symphonique. | + | ||| '''Rue Jules Massenet''' : ''[[WP:Jules Massenet|Jules Massenet]]'' (1842 - 1912), est un compositeur français. Il a laissé une œuvre essentiellement lyrique (vingt-cinq opéras), mais aussi pianistique et symphonique.<br>Cette rue est créée pour le lotissement du ''Château-de-Chigny le 9 novembre 1971<ref name="page24"/>. |
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||| '''Rue Jean Mermoz''' : ''[[WP:Jean Mermoz|Jean Mermoz]]'', (1901- 1936), est un aviateur français, figure légendaire de l'[[WP:Compagnie générale aéropostale|Aéropostale]], surnommé l'« Archange ». Il est aussi un des fondateurs en 1936 du [[WP:Parti social français|Parti social français]] (PSF) avec le [[WP:François de La Rocque|colonel de La Rocque]]. Cette rue faisait partie du chemin de Saint-Denis-du-Port à Conchs, devenue rue du ''Fort du bois''. Elle porte ce nom depuis le 31 août 1948<ref name="page24">''Les rues de Lagny-sur-Marne'', [[Musée Gatien-Bonnet]], juin 1995, page 24</ref>. | ||| '''Rue Jean Mermoz''' : ''[[WP:Jean Mermoz|Jean Mermoz]]'', (1901- 1936), est un aviateur français, figure légendaire de l'[[WP:Compagnie générale aéropostale|Aéropostale]], surnommé l'« Archange ». Il est aussi un des fondateurs en 1936 du [[WP:Parti social français|Parti social français]] (PSF) avec le [[WP:François de La Rocque|colonel de La Rocque]]. Cette rue faisait partie du chemin de Saint-Denis-du-Port à Conchs, devenue rue du ''Fort du bois''. Elle porte ce nom depuis le 31 août 1948<ref name="page24">''Les rues de Lagny-sur-Marne'', [[Musée Gatien-Bonnet]], juin 1995, page 24</ref>. | ||
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| − | ||| '''Rue Jean Monnet''' : ''[[WP:Jean Monnet|Jean Monnet]]'' (1888 - 1979), est un fonctionnaire international français, banquier international, promoteur de l'[[WP:atlantisme|atlantisme]] et du [[WP:libre-échange|libre-échange]]. Il est considéré comme un des « [[WP:pères de l'Europe|pères de l'Europe]] ». | + | ||| '''Rue Jean Monnet''' : ''[[WP:Jean Monnet|Jean Monnet]]'' (1888 - 1979), est un fonctionnaire international français, banquier international, promoteur de l'[[WP:atlantisme|atlantisme]] et du [[WP:libre-échange|libre-échange]]. Il est considéré comme un des « [[WP:pères de l'Europe|pères de l'Europe]] ».<br>Cette rue est créée dans la ZAC des Hauts-de-Lagny le 30 janvier 1981 <ref name="page24"/>. |
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| − | ||| '''Rue Jean Moulin''' : ''[[WP:Jean Moulin|Jean Moulin]]'' (1899-1943), est un haut fonctionnaire et résistant français. Il est envoyé à Lyon par Charles de Gaulle pour unifier les mouvements de la Résistance. Il est arrêté à Caluire-et-Cuire, dans la banlieue de Lyon, le 21 juin 1943 et conduit au siège de la Gestapo à Lyon où il est torturé ; il est ensuite transféré à la Gestapo de Paris. Il meurt dans le train qui le transporte en Allemagne peu avant le passage de la frontière, le 8 juillet 1943. Son décès est enregistré en gare de Metz1. Il dirigea le Conseil national de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Considéré comme l'un des principaux héros de la Résistance, il est compagnon de la Libération en 1942, nommé général de brigade à titre posthume lors de la Libération de la France, puis général de division en novembre 1946. Le 28 novembre 1949, une partie du ''Chemin du Champ-Pourri'' est débaptisée pour prendre son nom actuel <ref name="page24"/>. | + | |[[File:L3303 - Plaque de rue - Rue Jean Moulin.jpg|130px]]|| '''Rue Jean Moulin''' : ''[[WP:Jean Moulin|Jean Moulin]]'' (1899-1943), est un haut fonctionnaire et résistant français. Il est envoyé à Lyon par Charles de Gaulle pour unifier les mouvements de la Résistance. Il est arrêté à Caluire-et-Cuire, dans la banlieue de Lyon, le 21 juin 1943 et conduit au siège de la Gestapo à Lyon où il est torturé ; il est ensuite transféré à la Gestapo de Paris. Il meurt dans le train qui le transporte en Allemagne peu avant le passage de la frontière, le 8 juillet 1943. Son décès est enregistré en gare de Metz1. Il dirigea le Conseil national de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Considéré comme l'un des principaux héros de la Résistance, il est compagnon de la Libération en 1942, nommé général de brigade à titre posthume lors de la Libération de la France, puis général de division en novembre 1946.<br>Le 28 novembre 1949, une partie du ''Chemin du Champ-Pourri'' est débaptisée pour prendre son nom actuel <ref name="page24"/>. |
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|[[File:L1571 - Plaque de rue - Rue Jeanne d'Arc.jpg|130px]]|| '''Rue Jeanne d'Arc''' : | |[[File:L1571 - Plaque de rue - Rue Jeanne d'Arc.jpg|130px]]|| '''Rue Jeanne d'Arc''' : | ||
| − | ''[[WP:Jeanne d'Arc|Jeanne d'Arc]]'', (vers 1412-1431), est une héroïne de l'histoire de France, chef de guerre et sainte de l'Église catholique, surnommée depuis le XVIe siècle « la Pucelle d'Orléans ». [[WP:Béatification|Béatifiée]] en 1909 puis [[WP:canonisation|canonisée]] en 1920, Jeanne d'Arc devient une des deux ''saintes patronnes secondaires'' de la France en 1922 par la ''lettre apostolique : Beata Maria Virgo in cælum Assumpta in gallicæ''. Appelée officieusement ''rue Rambour'' du nom du propriétaire ayant donné son terrain à la ville en 1884, elle prend son nom actuel le 23 août 1886<ref name="page24"/>. | + | ''[[WP:Jeanne d'Arc|Jeanne d'Arc]]'', (vers 1412-1431), est une héroïne de l'histoire de France, chef de guerre et sainte de l'Église catholique, surnommée depuis le XVIe siècle « la Pucelle d'Orléans ». [[WP:Béatification|Béatifiée]] en 1909 puis [[WP:canonisation|canonisée]] en 1920, Jeanne d'Arc devient une des deux ''saintes patronnes secondaires'' de la France en 1922 par la ''lettre apostolique : Beata Maria Virgo in cælum Assumpta in gallicæ''.<br>Appelée officieusement ''rue Rambour'' du nom du propriétaire ayant donné son terrain à la ville en 1884, elle prend son nom actuel le 23 août 1886<ref name="page24"/>. |
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| − | ||| '''Rue Jules Massenet''' : ''[[WP:Jules Massenet|Jules Massenet]]'' (1842-1912), est un compositeur français. Il a laissé une œuvre essentiellement lyrique (vingt-cinq opéras), mais aussi pianistique et symphonique. | + | ||| '''Rue Jules Massenet''' : ''[[WP:Jules Massenet|Jules Massenet]]'' (1842-1912), est un compositeur français. Il a laissé une œuvre essentiellement lyrique (vingt-cinq opéras), mais aussi pianistique et symphonique.<br>Cette rue est créée pour le lotissement du Château-de-Chigny le 9 novembre 1971<ref name="page24"/>. |
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| − | |[[File:L1089 - Plaque de rue - Jean-Baptiste Le Prince.jpg|130px]]|| '''Avenue Jean Baptiste le Prince''' : [[Jean-Baptiste Le Prince]] (1734-1781), est un peintre et graveur français. Sa célébrité émane surtout de son invention d'un nouveau type de scène de genre et de son perfectionnement de la technique de l’[[WP:aquatinte|aquatinte]]. | + | |[[File:L1089 - Plaque de rue - Jean-Baptiste Le Prince.jpg|130px]]|| '''Avenue Jean Baptiste le Prince''' : [[Jean-Baptiste Le Prince]] (1734-1781), est un peintre et graveur français. Sa célébrité émane surtout de son invention d'un nouveau type de scène de genre et de son perfectionnement de la technique de l’[[WP:aquatinte|aquatinte]].<br>Cette avenue est créée dans la ZAC des Hauts-de-Lagny le 25 avril 1975 <ref name="page23"/> |
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| − | ||| '''Pont Joffre''' : ''[[WP:Joseph Joffre|Joseph Joffre]]'' (1852-1931), est un officier général français de la [[WP:Première Guerre mondiale|Première Guerre mondiale]]. Il est nommé en 1911 [[WP:Chef d'État-Major des armées (France)|chef d'État-Major général de l'Armée]]. En 1914, en tant que [[WP:commandant en chef|commandant en chef]] des armées, il met en œuvre le plan de mobilisation et de concentration (plan XVII), puis fait appliquer le principe de l'« [[WP:offensive à outrance|offensive à outrance]] », alors enseigné à l'[[WP:École supérieure de guerre|École de guerre]], qui se révèle extrêmement coûteux en vies humaines, notamment lors de la [[WP:bataille des Frontières|bataille des Frontières]]. Il est ensuite l'artisan de la victoire alliée lors de la [[WP:Bataille de la Marne (1914)|bataille de la Marne]]. Construit en pierre, il est détruit le 13 septembre 1870 pendant la guerre qui oppose la France aux Prussiens. Reconstruit en 1872, et et à nouveau détruit le 3 septembre 1914. Une nouvelle fois reconstruit, mais cette fois-ci en béton armé, il est inauguré le 19 octobre 1926 et devient le ''Pont Joffre'' le 9 février 1934. Il est de nouveau détruit pendant la seconde guerre mondiale le 14 juin 1940 et reconstruit à l'identique<ref name="page24"/> | + | ||| '''Pont Joffre''' : ''[[WP:Joseph Joffre|Joseph Joffre]]'' (1852-1931), est un officier général français de la [[WP:Première Guerre mondiale|Première Guerre mondiale]]. Il est nommé en 1911 [[WP:Chef d'État-Major des armées (France)|chef d'État-Major général de l'Armée]]. En 1914, en tant que [[WP:commandant en chef|commandant en chef]] des armées, il met en œuvre le plan de mobilisation et de concentration (plan XVII), puis fait appliquer le principe de l'« [[WP:offensive à outrance|offensive à outrance]] », alors enseigné à l'[[WP:École supérieure de guerre|École de guerre]], qui se révèle extrêmement coûteux en vies humaines, notamment lors de la [[WP:bataille des Frontières|bataille des Frontières]]. Il est ensuite l'artisan de la victoire alliée lors de la [[WP:Bataille de la Marne (1914)|bataille de la Marne]].<br>Construit en pierre, il est détruit le 13 septembre 1870 pendant la guerre qui oppose la France aux Prussiens. Reconstruit en 1872, et et à nouveau détruit le 3 septembre 1914. Une nouvelle fois reconstruit, mais cette fois-ci en béton armé, il est inauguré le 19 octobre 1926 et devient le ''Pont Joffre'' le 9 février 1934. Il est de nouveau détruit pendant la seconde guerre mondiale le 14 juin 1940 et reconstruit à l'identique<ref name="page24"/> |
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Cet article traite les rues commençant par J
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Rues
| Plaques | Désignations |
|---|---|
| Rue Jacquard : Joseph Marie Charles dit Jacquard (1752-1834), est un inventeur français, à qui l'on doit le métier à tisser mécanique programmable dit métier Jacquard. ]], (1752 - 1834), est un inventeur français, à qui l'on doit le métier à tisser mécanique programmable dit métier Jacquard. Initialement, cette rue s'appelait Chemin de la Justice en 1255, puis de Vieille Justice en 1597. Le 24 septembre 1971, ce chemin est débaptisé et prend le nom de Rue Jacquard[1]. | |
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Rue Jacques le Paire : Initialement appelée Faubourg de la porte Marchande en 1733, puis le chemin qui conduit du faubourg Vacheresse à la rivière en 1799, puis le chemin de ronde de la ville en 1842 et en 1843, nom original Chemain de sainture de la ville de Lagny conduissant chez Monsieur Lepaire. Le 26 juin 1851, cette rue prend son nom actuel. Jacques Le Paire était le grand-père de l'historien local Jacques-Amédée Le Paire[1]. |
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Rue Jean Elie : Rue créée par l'entrepreneur Jules Léon Bouillon vers 1900/1905 dans sa propriété. Ce sont les deux prénoms de son père Jean Elie Bouillon[1]. |
| Rue Jules Massenet : Jules Massenet (1842 - 1912), est un compositeur français. Il a laissé une œuvre essentiellement lyrique (vingt-cinq opéras), mais aussi pianistique et symphonique. Cette rue est créée pour le lotissement du Château-de-Chigny le 9 novembre 1971[2]. | |
| Rue Jean Mermoz : Jean Mermoz, (1901- 1936), est un aviateur français, figure légendaire de l'Aéropostale, surnommé l'« Archange ». Il est aussi un des fondateurs en 1936 du Parti social français (PSF) avec le colonel de La Rocque. Cette rue faisait partie du chemin de Saint-Denis-du-Port à Conchs, devenue rue du Fort du bois. Elle porte ce nom depuis le 31 août 1948[2]. | |
| Rue Jean Monnet : Jean Monnet (1888 - 1979), est un fonctionnaire international français, banquier international, promoteur de l'atlantisme et du libre-échange. Il est considéré comme un des « pères de l'Europe ». Cette rue est créée dans la ZAC des Hauts-de-Lagny le 30 janvier 1981 [2]. | |
 |
Rue Jean Moulin : Jean Moulin (1899-1943), est un haut fonctionnaire et résistant français. Il est envoyé à Lyon par Charles de Gaulle pour unifier les mouvements de la Résistance. Il est arrêté à Caluire-et-Cuire, dans la banlieue de Lyon, le 21 juin 1943 et conduit au siège de la Gestapo à Lyon où il est torturé ; il est ensuite transféré à la Gestapo de Paris. Il meurt dans le train qui le transporte en Allemagne peu avant le passage de la frontière, le 8 juillet 1943. Son décès est enregistré en gare de Metz1. Il dirigea le Conseil national de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Considéré comme l'un des principaux héros de la Résistance, il est compagnon de la Libération en 1942, nommé général de brigade à titre posthume lors de la Libération de la France, puis général de division en novembre 1946. Le 28 novembre 1949, une partie du Chemin du Champ-Pourri est débaptisée pour prendre son nom actuel [2]. |
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Rue Jeanne d'Arc :
Jeanne d'Arc, (vers 1412-1431), est une héroïne de l'histoire de France, chef de guerre et sainte de l'Église catholique, surnommée depuis le XVIe siècle « la Pucelle d'Orléans ». Béatifiée en 1909 puis canonisée en 1920, Jeanne d'Arc devient une des deux saintes patronnes secondaires de la France en 1922 par la lettre apostolique : Beata Maria Virgo in cælum Assumpta in gallicæ. |
| Rue Jules Massenet : Jules Massenet (1842-1912), est un compositeur français. Il a laissé une œuvre essentiellement lyrique (vingt-cinq opéras), mais aussi pianistique et symphonique. Cette rue est créée pour le lotissement du Château-de-Chigny le 9 novembre 1971[2]. |
Avenues
| Plaques | Désignations |
|---|---|
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Avenue Jean Baptiste le Prince : Jean-Baptiste Le Prince (1734-1781), est un peintre et graveur français. Sa célébrité émane surtout de son invention d'un nouveau type de scène de genre et de son perfectionnement de la technique de l’aquatinte. Cette avenue est créée dans la ZAC des Hauts-de-Lagny le 25 avril 1975 [1] |
Impasse
| Plaques | Désignations |
|---|---|
| Impasse des Jardiniers : |
Square
| Plaques | Désignations |
|---|---|
| Square Jeanne d'Arc : Nom donné au square aménagé dans le jardin du presbytère. La notion ce ce nom apparait dès le 28 janvier 1960. La statue de Jeanne-d'arc, initialement située place du Marché-au-Blés transférée dans ce square en 1966, renforce ce nom. [2]. |
Pont
| Plaques | Désignations |
|---|---|
| Pont Joffre : Joseph Joffre (1852-1931), est un officier général français de la Première Guerre mondiale. Il est nommé en 1911 chef d'État-Major général de l'Armée. En 1914, en tant que commandant en chef des armées, il met en œuvre le plan de mobilisation et de concentration (plan XVII), puis fait appliquer le principe de l'« offensive à outrance », alors enseigné à l'École de guerre, qui se révèle extrêmement coûteux en vies humaines, notamment lors de la bataille des Frontières. Il est ensuite l'artisan de la victoire alliée lors de la bataille de la Marne. Construit en pierre, il est détruit le 13 septembre 1870 pendant la guerre qui oppose la France aux Prussiens. Reconstruit en 1872, et et à nouveau détruit le 3 septembre 1914. Une nouvelle fois reconstruit, mais cette fois-ci en béton armé, il est inauguré le 19 octobre 1926 et devient le Pont Joffre le 9 février 1934. Il est de nouveau détruit pendant la seconde guerre mondiale le 14 juin 1940 et reconstruit à l'identique[2] |
