Chapelles disparues
Chapelle Pépin, dite du Calvaire
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Cette chapelle se situait à l'angle des rues Saint-Denis et Delambre. Elle fut construite avec les matériaux provenant de l'église Église Saint-Paul, que son propriétaire Jean-Pierre Pépin récupéra avant sa destruction en 1812[1].
Cette chapelle fut construite en 1794 et détruite en 1909. La seule représentation qui existe est un dessin de Émile-Gustave Cavallo-Péduzzi qui nous apprend qu'une borne royale était présente sur cette rue.
Chapelle Saint-Vincent-de-l'Aître
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Cette petite chapelle dédiée à Saint Vincent datait du XIIIème siècle et qui fut nommée tout naturellement Saint-Vincent-de-l'Aître, c'est à dire, chapelle du cimetière[2]. Elle se trouvait dans le cimetière Vincent Saint-Vincent de l'Aître qui ferma définitivement en 1884. Au moment de la Révolution Française, le curé de l’Église Saint-Sauveur en était le titulaire.
La chapelle, que nous pourrions situer au 3 avenue de la République, a été détruite vers 1907. Seul a un dallage en briques a été retrouvé en 1963 lors d'un creusement d'un tranchée.
Elle abritait quelques sépultures :
- L'abbé Durey, curé de Saint-Saufeur (1756)
- L'abbé Grandidier (1819)
- L'abbé Andrieu (1851)
La seule représentation de cette chapelle est un dessin de Émile-Gustave Cavallo-Péduzzi.