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Modèle:Infobox Communes de France
Lagny-sur-Marne est une commune française, située dans le département de Seine-et-Marne et la région Île-de-France.
Les habitants sont appelés les Latignaciens ou les Laniaques.
Sommaire
- 1 Géographie
- 2 Voies de communication et transports
- 3 Urbanisme
- 4 Logement
- 5 Population et société
- 6 Politique et administration
- 7 Canton
- 8 Intercommunalité
- 9 Économie
- 10 Enseignement
- 11 Culture
- 12 Jumelages
- 13 Santé
- 14 Sports
- 15 Police
- 16 Médias
- 17 Vie locale
- 18 Culture locale et patrimoine
- 19 Toponymie
- 20 Histoire
- 21 Les mystères de l'Abbaye Saint Pierre
- 22 Équipements ou services
- 23 Personnalités liées à la commune
- 24 Héraldique logotype et devise
- 25 Compléments
- 26 Galerie d'images
- 27 Voir aussi
- 28 Notes et références
Géographie
La commune de Lagny-sur-Marne s'étend entre la vallée de la Marne et le début du plateau de la Brie. La Marne constitue la limite nord de la commune.
Localisation
Lagny est situé à 28 km à l'est de Paris. Son altitude est d'environ 44 m.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
Voies ferroviaires
La commune est desservie par la gare de Lagny - Thorigny située sur la commune de Thorigny-sur-Marne. Elle est desservie par les trains de la ligne ligne Paris-Meaux via Chelles du réseau transilien Paris-Est.
Voies routières
La commune est desservie à l'ouest par la francilienne Modèle:Autoroute française et à l'est par la Modèle:Route départementale ex RN34 et la Modèle:Route départementale.
Créée en 1970, afin de délester le centre ville d’une circulation automobile de plus en plus dense, une voie rapide à 2x2 voies, connue sous le nom de "Déviation de Lagny", relie à travers les quartiers sud de la ville, la francilienne à l'ouest aux D934 et D231 à l'est.
Si ce contournement a rempli son objet en soulageant la circulation intra-muros, elle a par contre amené 2 inconvénients majeurs, d’une part en dissociant les quartiers sud du centre ville, coupant la plupart des rues qui les unissaient, d’autre part provoquant des nuisances sonores en constante augmentation, 65 à 75 dB (Etude 2008 de Bruit-Parif).
Ces désagréments fortement ressentis par les riverains, sont la résultante d’une réalisation bâclée, basée au départ sur un projet de tracé datant de 1933.
En 1933, les services routiers travaillent sur un projet de tracé contournant la ville par le sud, dans une zone dont la plus grande partie n’est pas urbanisée, présenté au conseil municipal de Lagny, il est refusé en 1936, le conseil considérant qu’il est trop près des habitations et qu’il entrainerait nombre d'expropriations.
En 1939, un nouveau projet est établi, accepté cette fois ci par le conseil municipal, il est suffisamment éloigné des habitations et n’entraine plus d’expropriations.
(Source : archives municipales de la ville de Lagny).
La guerre 1939/1945 ne permet pas la réalisation des travaux, il en est de même pendant les décennies 1950 et 1960, la priorité revenant à la rénovation et à la construction de nombreux logements, ce qui entraine le développement de la ville de Lagny vers le sud où ce trouvent les seuls espaces disponibles.
Vers la fin des années 1960, la circulation routière en centre ville devenant inextricable, le projet de 1939 resurgit du fond des tiroirs, il est mis précipitamment en œuvre trait pour trait, sans tenir compte du développement important de l’urbanisation.
Pistes cyclables
Transports en commun
La commune est surtout desservie par les bus du réseau PEP'S.
Urbanisme
Morphologie urbaine
Logement
Projets d'aménagements
Population et société
Démographie
Lagny-sur-Marne a plus que décuplé sa population sur deux siècles par une croissance régulière. Compte tenu, de ses limites communales, son potentiel de croissance est désormais limité.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
Politique environnementale
Canton
Lagny est chef-lieu du canton de Lagny-sur-Marne dont elle est la ville la plus importante.
Intercommunalité
Lagny fait partie de la communauté d'agglomération de Marne et Gondoire dont elle est la commune la plus importante. Marne et Gondoire regroupe neuf des douze communes du Val de Bussy (secteur 3 d'aménagement de Marne-la-Vallée) dont Lagny fait partie, et six autres communes situées au nord de la Marne, dont Thorigny-sur-Marne commune avec qui Lagny partage sa gare.
Économie
La ville de Lagny possédait des tanneries et des marchés très dynamiques ont toujours lieu le mercredi, vendredi et dimanche. C'est cependant l'hôpital (Centre hospitalier de Lagny-sur-Marne) qui emploie le plus de personnes dans la ville.
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Entreprises et commerces
- Descours & Cabaud, négoce de métaux à destination de l'industrie.
Enseignement
Établissements scolaires
- Lycée public général et technologique Van-Dongen
- Collège les 4 arpents
- Collège Marcel-Rivière
- Ensemble scolaire privé catholique Saint-Laurent - La Paix Notre Dame
- Ecole privée catholique Saint-Joseph
Vie universitaire
Culture
Cité médiévale, la ville compte de nombreux monuments historiques comme l'église Notre-Dame-des-Ardents (Modèle:XIIIe siècle) , les Cinq Pignons (12e-16e siècles), l'église Saint-Furcy (XVe siècle) et l'Hôtel de Ville (XVIIIe siècle).
Un des berceaux du pointillisme, elle a vu naître le « Groupe de Lagny » (Émile-Gustave Cavallo-Péduzzi, Léo Gausson, Maximilien Luce).
Festivités et évènements
- "Carnaval", première quinzaine de mars
- "Dimanche au bord de l'eau", Dernier dimanche de juin, animations, promenades, concours de peinture au bord de la Marne. Cet évenement est partagé avec d'autres ville où la Marne passe; Comme Vaires sur Marne.
Jumelages
Santé
Sports
Centre aquatique Marne et Gondoire
AS Lagny Rugby (Association Sportive de Lagny Rugby). L'un des plus ancien club de rugby de France, fondé en 1907.
L'US Lagny HB (Union Sportive Lagny Handball) évolue en Nationale 2 (le 4ème échelon national).
Police
Médias
Vie locale
Cultes
Marché
Le marché de la ville de Lagny a lieu le mercredi le vendredi et le dimanche
Environnement
Culture locale et patrimoine
Gastronomie
Patrimoine religieux
Toponymie
Histoire
Au Modèle:IVe siècle, Latinius, un propriétaire romain, aurait donné son nom à la future agglomération Latiniacum, domaine de Latinius.
Recevant d'Erchinoald une partie du territoire, Fursy de Péronne, moine irlandais, bâtit en bord de Marne, sur la Villa Latiniacum de Clovis II et Bathilde, au Modèle:VIIe siècle, un monastère, l'abbaye Saint-Pierre, à partir de laquelle se forment la bourgade puis la ville actuelle de Lagny.
Ravagée par les Vikings au Modèle:IXe siècle, l'abbaye Saint-Pierre est au Xe siècle un amas de ruines. Elle est relevée de 990 à 1019 par le comte de Meaux Herbert II le Jeune et son fils Etienne de Troyes. En 1018, le nouveau monastère est consacré en présence du roi Robert et érigé Seigneurie des terres latignaciennes.
Vers 1022, la Seigneurie de Lagny tombe entre les mains des comtes de Blois-Champagne. L'abbaye crée et anime dès le Modèle:XIe siècle la Foire des Saints Innocents, l'une des quatre plus célèbres Foires de Champagne des Modèle:XIIe et Modèle:XIIIe siècles avec Provins, Troyes et Bar-sur-Aube, restylise au XIIIe son abbatiale, développe la cité, l'entoure de remparts, l'embellit par le commerce et, après son retour définitif au Domaine Royal, en 1361, bénéficie d'un nouveau remodelage architectural au Modèle:XVIIIe siècle, sous la Commende, puis disparaît définitivement avec ses moines à la Révolution.
En 1142, Yves, légat du Saint Siège, y tint un concile.
La plus ancienne prise d'ergot de seigle est répertoriée à Lagny-sur-Marne où au Modèle:XIIe siècle la population fut frappée du « mal des ardents » ou « Feu de Saint Antoine ». (cf: LSD)
Philippe Auguste interdit aux comtes de Champagne d'entourer de murs la ville de Lagny, qui, en 1303, fut réunie au domaine royal.
En 1415, Jean de Bourgogne y logea en attendant que Charles VI lui accordât une entrevue qui lui fut refusée. Il s'en vengea en pillant Lagny.
En 1429, les notables donnèrent la ville à Charles VII.
En 1544 les habitants se révoltèrent; le maréchal de Lorges prit la ville d'assaut et y laissa commettre toutes sortes d'excès. [2]
Dans la ville, frappée par deux incendies à l'époque médiévale, il subsiste de nos jours trois structures issues de l'abbaye : l'entrée fortifiée de celle-ci sur la place de la Fontaine, l'église Saint-Pierre et Notre-Dame-Des-Ardents, choeur de l'abbatiale surgie à l'époque exceptionnelle du Modèle:XIIIe siècle et l'Hôtel de Ville du Modèle:XVIIIe siècle. Cette appellation moderne de l'abbatiale lui a été décernée officiellement en 1950 pour célébrer la prière à la Vierge Marie (« Notre-Dame des Aydans ») de la population médiévale qui fit cesser deux épidémies du « mal des Ardents » au Modèle:XIIe siècle : Ce mal, l'ergotisme, provenant de l'ergot du seigle, un champignon qui provoquait la mort, avait décimé toute la population, comme devait le faire plus tard la peste noire.
Incidemment, en ce même siècle, un grand tournoi de chevalerie se déroula dans la Plaine de la Marne, à l'ouest des remparts, auquel Guillaume Le Maréchal participa, ainsi qu'Henri le Jeune, le fils héritier du roi d'Angleterre de l'époque, Henry II d'Angleterre. Ce siècle, par ailleurs, voit le long règne sur la Brie et la Champagne du comte Thibaut-le-Grand (Thibaut IV de Blois ou II de Champagne) qui, en 1152, élit l'abbatiale de Lagny pour lieu de sa sépulture, comme l'avait fait Herbert le Jeune, le comte redresseur de l'abbaye ruinée par les Vikings. Le Modèle:XIIIe siècle, qui suit, verra l'apogée de l'action de l'abbaye Saint-Pierre à « Laigni », ville royale, dans laquelle séjournera par choix Jeanne d'Arc quelques décennies plus tard, sur la route du destin.
Aujourd'hui
Désaffectés sous la Révolution, certains bâtiments de l'abbaye sont vendus en 1796. Le Modèle:XIXe siècle verra la transformation des bâtiments restants en hôpital militaire. L'inscription « Hôpital Militaire » subsiste encore sur le fronton de la porte principale. Depuis 1842, l'ancienne abbaye abrite la Mairie de Lagny-sur-Marne.
L'entrée fortifiée de l'ancienne abbaye donne aujourd'hui sur la place de la Fontaine. On peut encore y lire une inscription qui date de la Révolution, réalisée en 1793 à l'occasion de la fête de « l'Unité et de l'Indivisibilité de la République » : « Unité Indivisible de la République Liberté Égalité Fraternité ou la Mort ».
L'hôtel de ville est installé dans les bâtiments de l'abbaye. Dès l'entrée on arrive dans les galeries du cloître qui entourent le jardin intérieur. Le grand escalier mène au premier étage, vers les salons d'honneur. Les murs de la galerie du premier étage accueillent de nombreuses toiles des peintres de Lagny-sur-Marne et de sa région, dont Alphonse Lint, mort en 1900, rattaché à l'École de Barbizon et aux impressionnistes. Certains tableaux furent achetés par le baron de Rothschild et offerts à la ville de Lagny-sur-Marne.
L'abbaye est reliée à l'abbatiale par une porte qu'utilisaient autrefois les moines pour se rendre aux offices. Un des tableaux de l'abbatiale, certainement la Descente du Saint-Esprit, fut offert par Louis XIV, de passage à Lagny.
Le , une catastrophe ferroviaire s'est produite entre Lagny et Pomponne faisant plus de deux cents tués.
Les mystères de l'Abbaye Saint Pierre
L'abbaye renferme 2 mystères :
- Le clou de la croix
- Le blason de la ville comporte un clou. il s'agit de la pointe d'un des clous de la croix du Christ, remis par le roi Robert II de France vers 1019 à l'abbaye, lors de l'inauguration de la nouvelle abbatiale renaissant du pillage Viking. Cette relique disparut lors du pillage du monastère par les calvinistes en 1567.
- L'épée de Jeanne d'Arc
- Jeanne d'Arc est passée deux fois à Lagny-sur-Marne : en septembre 1429 et au printemps 1430.
Lors de ce second passage, qui s'étala sur un bon mois, la Pucelle accomplit un miracle, dans la chapelle des Ardents de l'abbatiale, sur lequel s'appuieront les autorités catholiques pour sa canonisation : elle ressuscite un enfant mort depuis 3 jours, pour lui permettre de recevoir le sacrement du baptême. C'est dans la Prairie de Vaires-sur-Marne qu'elle livre le dernier combat, victorieux, de sa jeune et fulgurante carrière.
À son départ, Jeanne d'Arc laisse 6 épées. L'une d'elles, l'épée de Sainte-Catherine-de-Fierbois, que la tradition présente comme étant celle que portait Charles Martel à la Bataille de Poitiers en 732 et qui équipe symboliquement la Pucelle, à la demande de ses voix, dès le début de sa mission officielle contre l'Anglais : elle l'arbore journellement jusqu'à Lagny où elle apprend par ses voix, sur les fossés de Melun, que son destin va la livrer bientôt à l'Anglais. Atterrée par cette nouvelle, qu'elle garde pour elle, elle ceint sa meilleure épée, celle qu'elle a capturée à Vaires au chef combattant Franquet d'Arras et part jouer sa dernière carte, Compiègne.
L'épée de Fierbois, présente à Lagny, jugée désormais sans utilité car, de plus, détériorée, aurait été remise par la Pucelle à une autorité de l'abbaye qui l'aurait fait enfouir dans un souterrain situé sous l'abbatiale ou murer dans un pilier de la chapelle de la Vierge des Ardents : telle serait l'opinion gratuite d'un auteur latignacien, Marcel Pouzol. En fait, nul ne sait vraiment ce qu'il est advenu d'elle : La Pucelle, prise par l'Anglais, dira avoir laissé la destination de cette épée à ses frères eux-mêmes qui s'occupaient de l'intendance (chevaux et équipements de combat) et de l'avoir de leur sœur et, depuis, on n'a plus trace de l'épée de Fierbois...[3]
Monuments et lieux touristiques
- Église abbatiale Saint-Pierre Notre-Dame-des-Ardents
- (Classée au titre des Monuments Historiques le 12 juillet 1886)
- Ancienne église Saint-Fursy
- (Classée au titre des Monuments Historiques le 19 février 1982)
- Hôtel de Ville
- Ancien cloître de l'abbaye Saint-Pierre, les bâtiments de la mairie ont été construits entre 1755 et 1765 et restaurés à la fin du XIXe siècle. (Inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques le 30 mai 1969)
- Immeuble des Cinq Pignons
- La partie basse de l'immeuble des Cinq Pignons, sur la place de la Fontaine, date du XIIe siècle. Il s'agit d'une ancienne halle, abritant les marchands de la ville d'Ypres lors des foires de Lagny au Moyen-Âge. La halle originelle a été complétée au XVIe siècle par des habitations, dont les toitures en pignon ont donné son nom à l'immeuble. (Inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques le 12 mars 1970)
- Fontaine Saint-Fursy
- Située sur la place de la Fontaine, la fontaine Saint-Fursy actuelle date de 1902. Elle remplace une fontaine originale, datée du XIIe siècle et ornée de bas-reliefs, détruite à cause de sa vétusté. La source qui alimente la fontaine est supposée avoir jailli miraculeusement sous le bâton de Saint-Fursy. (Inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques le 16 mars 1926)
- Statue de Jeanne d'Arc
- Actuellement située dans le square qui entoure le chevet de l'abbatiale Notre-Dame-des-Ardents cette statue, datant de 1923, placée à l'origine sur la Place du Marché, a été déplacée vers 1960 dans ce lieu discret et charmant. Elle célèbre la victoire de Jeanne d'Arc dans la Plaine de Vaires-sur-Marne : la Pucelle brandit dans la main droite l'épée fétiche de Fierbois tandis que de l'autre elle pointe au sol l'épée de Franquet d'Arras capturée sur les Champs de Vaires.
- Lavoir
- Un ancien lavoir, toujours visible rue Saint-Paul, date du milieu du XIXe siècle, à une époque où ont eu lieu d'importantes rénovations du centre ville de Lagny-sur-Marne. Il remplace différents petits lavoirs qui étaient disposés autour de la fontaine Saint-Fursy.
Patrimoine culturel
Aux alentours
Équipements ou services
Personnalités liées à la commune
- Honoré de Balzac venait régulièrement à Lagny-sur-Marne chez son imprimeur pour l'édition des Illusions perdues.
- Louise Michel passe plusieurs mois à Lagny-sur-Marne en 1851 au pensionnat de Mme Duval où elle se prépare au métier d'institutrice.
- Léo Gausson, peintre du groupe de Lagny, est né dans une des maisons à pignons, le 14 février 1860.
- Léon Bloy, écrivain polémiste. "Quatre Ans de Captivité à Cochons-sur-Marne" est le résumé de son séjour à Lagny-sur-Marne et dans les environs entre 1900 et 1904.
- Thierry Rey, natif de Lagny-sur-Marne, est l'un des plus célèbres judoka français. Aujourd'hui, un gymnase de Lagny-sur-Marne porte son nom.
- Francis Llacer, natif de Lagny-sur-Marne, joueur de football.
- Pierre Hasquenoph, Paul Wehage et Jean-Thierry Boisseau, compositeurs de musique classique, ont vécu ou vivent à Lagny-sur-Marne.
- Bruce Abdoulaye, joueur de football international congolais vit à Lagny-sur-Marne.
- Harlem de la Star Academy.
- Cyril Cinélu, gagnant de la Star Academy 2006.
- Vincent Delporte, champion du monde 1998 et vice-champion du monde 2000 de hockey subaquatique. Membre du Hockey Subaquatique Club de Lagny.
- Xavier Blond, natif de Lagny-sur-Marne, international de rugby à XV.
- Benjamin Boukpeti, natif de Lagny-sur-Marne, franco-togolais, médaille de bronze pour le Togo aux Jeux Olympiques de Pékin 2008.
- Paul Genevay, natif de Lagny-sur-Marne, athlète médaillé de bronze aux Jeux olympiques de 1964.
- Laurent Fignon , scolarisé à Lagny-sur-marne, grand cycliste des années 1980
- La Hors de Portée , Colectif de rap évoluant à Lagny-sur-Marne.
Héraldique logotype et devise
En 1990, à la demande Claude Avisse, Maire de Lagny, la ville se dote d'une nouvelle identité visuelle, plus moderne et dynamique, pour succéder aux anciennes armes. Le nouveau logo de la Ville de Lagny-sur-Marne est créé par l'agence International Concept, sous la direction de Frédéric Fougerat.
Compléments
Bibliographie
Iconographie
Galerie d'images
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
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war:Lagny-sur-Marne- ↑ sur www.francegenweb.org
- ↑ Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
- ↑ toute référence sur Jeanne d'Arc provient des Actes de son Procès de condamnation (janvier-mai 1431) et des Actes de son procès de réhabilitation (1450-1456)