Chapelles disparues
Chapelle Pépin, dite du Calvaire
Cette chapelle se situait à l'angle des rues Saint-Denis et Delambre. Elle fut construite avec les matériaux provenant de l'église Église Saint-Paul, que son propriétaire Jean-Pierre Pépin récupéra avant sa destruction en 1812[1].
Cette chapelle fut construite en 1794 et détruite en 1909. La seule représentation qui existe est un dessin de Émile-Gustave Cavallo-Péduzzi qui nous apprend qu'une borne royale était présente sur cette rue.
Chapelle Saint-Vincent-de-l'Aître
Cette petite chapelle dédiée à Saint Vincent datait du XIIIème siècle et qui fut nommée tout naturellement Saint-Vincent-de-l'Aître, c'est à dire, chapelle du cimetière[2]. Au moment de la Révolution Française, le curé de l’Église Saint-Sauveur en était le titulaire.
La chapelle, que nous pourrions situer au 3 avenue de la République, a été détruite vers 1907. La seule représentation de cette chapelle est un dessin de Émile-Gustave Cavallo-Péduzzi.