« Émile Sabouraud » : différence entre les versions
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Fils de médecin, Émile Sabouraud était également le frère aîné de la pianiste Cécile de Brunhoff, épouse de Jean de Brunhoff, le créateur de Babar<ref name="Nouvel Observateur">[http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20030408.OBS9207/cecile-de-brunhoff-est-morte.html Cécile de Brunhoff est morte - Article du Le Nouvel Observateur le 11 avril 2003]</ref>. | Fils de médecin, Émile Sabouraud était également le frère aîné de la pianiste Cécile de Brunhoff, épouse de Jean de Brunhoff, le créateur de Babar<ref name="Nouvel Observateur">[http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20030408.OBS9207/cecile-de-brunhoff-est-morte.html Cécile de Brunhoff est morte - Article du Le Nouvel Observateur le 11 avril 2003]</ref>. | ||
Élève d'Othon Friesz à l'Académie de la Grande Chaumière (vers 1918-1920) et membre du Groupe du Pré-Saint-Gervais, il expose au Salon des indépendants, au salon d'automne et au Salon des Tuileries<ref> [http://books.google.com/books?id=xojsRTC5ttcC&pg=PA720 ''Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord'',peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, David Karel, Presses de l'Université Laval, ISBN 9782763772356]</ref>. À Alger, il est pensionnaire de la Villa Abd-el-Tif en 1935 et 1936. Après son retour en France, il rejoint les Peintres de la réalité poétique. Il est professeur à l'Académie Julian (1946) et aux Arts décoratifs de Paris (1954-1970)<ref>[http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb16246526p Catalogue Bnf]</ref>. On lui doit un ouvrage théorique, ''La figuration'' (1979) | Élève d'Othon Friesz à l'Académie de la Grande Chaumière (vers 1918-1920) et membre du Groupe du Pré-Saint-Gervais, il expose au Salon des indépendants, au salon d'automne et au Salon des Tuileries<ref> [http://books.google.com/books?id=xojsRTC5ttcC&pg=PA720 ''Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord'',peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, David Karel, Presses de l'Université Laval, ISBN 9782763772356]</ref>. À Alger, il est pensionnaire de la Villa Abd-el-Tif en 1935 et 1936. Après son retour en France, il rejoint les Peintres de la réalité poétique. Il est professeur à l'Académie Julian (1946) et aux Arts décoratifs de Paris (1954-1970)<ref>[http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb16246526p Catalogue Bnf]</ref>. On lui doit un ouvrage théorique, ''La figuration'' (1979). | ||
==Expositions principales== | ==Expositions principales== |
Version du 27 mai 2017 à 14:31
Naissance |
Paris |
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Décès |
Lagny-sur-Marne |
Profession |
Peintre |
Émile Sabouraud, né à Paris le 17 novembre 1900 et mort à Lagny-sur-Marne en 1996[1] est un peintre français.
Biographie
Fils de médecin, Émile Sabouraud était également le frère aîné de la pianiste Cécile de Brunhoff, épouse de Jean de Brunhoff, le créateur de Babar[2].
Élève d'Othon Friesz à l'Académie de la Grande Chaumière (vers 1918-1920) et membre du Groupe du Pré-Saint-Gervais, il expose au Salon des indépendants, au salon d'automne et au Salon des Tuileries[3]. À Alger, il est pensionnaire de la Villa Abd-el-Tif en 1935 et 1936. Après son retour en France, il rejoint les Peintres de la réalité poétique. Il est professeur à l'Académie Julian (1946) et aux Arts décoratifs de Paris (1954-1970)[4]. On lui doit un ouvrage théorique, La figuration (1979).
Expositions principales
- 1951 - Fondation Carnegie, Pittsburg
- 1951 - New Gallery, New York
- 1979 et 1982 - Musée de Grenoble
Collections publiques
- Musée de Grenoble : Fleurs, Nature morte[5],[6]
- Musée des beaux-arts de Lyon : Nature morte au bouquet d'anémones[7]
- Musée Cantini : Nature morte[8]
- Musée des Augustins de Toulouse : Rue du Vieux moulin
- Musée national d'art moderne : Lendemain de fête, Nature morte aux papiers froissés
- Musée national des beaux-arts d'Alger : Place à Djerba, Jeune nègre, Le Quartier juif de Ghardaia
- Ecole de l'air : décorations murales
Prix et distinctions
- 1935 - Prix Abd-el-Tif
- 1951 - Légion d'honneur
- 1965 - Commandeur des Arts et des Lettres
- 1970 - Prix Georges Wildenstein de l'Académie des beaux-arts (France)
Notes et références
Liens externes
- ↑ (en) Benezit Dictionary of Artists
- ↑ Cécile de Brunhoff est morte - Article du Le Nouvel Observateur le 11 avril 2003
- ↑ Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord,peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, David Karel, Presses de l'Université Laval, ISBN 9782763772356
- ↑ Catalogue Bnf
- ↑ Musée de Grenoble : Fleurs, Nature morte
- ↑ Musée de Grenoble : Fleurs, Nature morte
- ↑ Musée des beaux-arts de Lyon : Nature morte au bouquet d'anémones
- ↑ Musée Cantini : Nature morte