Salomé Saqué : Différence entre versions

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Elle commence à travailler pour ''[[Le Monde diplomatique]]'' ainsi qu'à [[France 24]] pendant trois ans<ref name=":2"/>{{,}}<ref name=":1"/>.
 
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Très active sur les réseaux sociaux, elle acquiert en popularité grâce à sa couverture du [[mouvement des Gilets jaunes]] pour le média en ligne ''[[Le vent se lève (site web)|Le vent se lève]],'' ainsi qu'en tant que correspondante pour une chaîne de télévision australienne<ref name=":2"/>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Florence Tredez |titre=Audiovisuel : quatre femmes d'avenir |url=https://www.elle.fr/Societe/News/Audiovisuel-quatre-femmes-d-avenir-3973392 |accès url=libre |site=[[Elle (magazine)|Elle]] |date=2021-12-01 |consulté le=2022-01-10}}.</ref>. Pour ''[[Le Monde]]'', son succès est ainsi notamment dû à sa volonté de capter l'attention sur les réseaux sociaux<ref name=":2"/>. Elle témoigne en revanche sur le harcèlement dont elle est victime en ligne, en raison de ses prises de position mais surtout parce qu'elle est une femme<ref name=":2"/>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Elsa Gambin |titre="L’insulte trouve toujours son chemin" : les militantes féministes auront-elles un jour la paix en ligne ? |url=https://www.marieclaire.fr/militantes-feministes-harcelement-en-ligne-reseaux-sociaux-salome-saque-sandrine-goeyvaerts,1420602.asp |accès url=libre |site=[[Marie Claire]] |date=19/01/2022 |consulté le=2022-01-26}}.</ref>. Toujours selon ''Le Monde'', elle se définit comme une [[journaliste]] engagée mais non comme une journaliste militante<ref name=":2" />.  
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Très active sur les réseaux sociaux, elle acquiert en notoriété grâce à sa couverture pour le média en ligne ''[[Le vent se lève (site web)|Le vent se lève]]'' du [[mouvement des Gilets jaunes]], ainsi qu'en tant que correspondante pour une chaîne de télévision australienne<ref name=":2"/>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Florence Tredez |titre=Audiovisuel : quatre femmes d'avenir |url=https://www.elle.fr/Societe/News/Audiovisuel-quatre-femmes-d-avenir-3973392 |accès url=libre |site=[[Elle (magazine)|Elle]] |date=2021-12-01 |consulté le=2022-01-10}}.</ref>. Pour ''[[Le Monde]]'', son succès est ainsi notamment dû à sa volonté de capter l'attention sur les réseaux sociaux<ref name=":2"/>. Elle témoigne en revanche sur le harcèlement dont elle est victime en ligne, en raison de ses prises de position mais surtout parce qu'elle est une femme<ref name=":2"/>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Elsa Gambin |titre="L’insulte trouve toujours son chemin" : les militantes féministes auront-elles un jour la paix en ligne ? |url=https://www.marieclaire.fr/militantes-feministes-harcelement-en-ligne-reseaux-sociaux-salome-saque-sandrine-goeyvaerts,1420602.asp |accès url=libre |site=[[Marie Claire]] |date=19/01/2022 |consulté le=2022-01-26}}.</ref>. Toujours selon ''Le Monde'', elle se définit comme une [[journaliste]] engagée mais non comme une journaliste militante<ref name=":2" />.  
  
Elle rejoint le site d'information de [[Denis Robert]], [[Blast (web TV)|Blast]], à sa création en 2021<ref name=":2"/>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Adrien |nom=Franque |titre=«Blast», contre-média ou média des contres ? |url=https://www.liberation.fr/economie/medias/blast-contre-media-ou-media-des-contres-20210516_SR6DAGIFSJF2BPMD36UUJQVNG4/ |accès url=inscription |site=[[Libération (journal)|Libération]] |date=16 mai 2021 |consulté le=2022-01-10}}.</ref>. Parallèlement, elle intervient dans le magazine ''[[Ça vous regarde (émission de télévision, 2009)|Ça vous regarde]]'' sur [[LCP (chaîne de télévision)|LCP]] et dans l'émission ''[[28 minutes]]'' sur [[Arte]]<ref name=":0" />. Début 2022, une de ses chroniques dans cette dernière au sujet du [[réchauffement climatique]] datant d'octobre 2021 devient virale en raison de sa ressemblance avec un extrait du film [[Don't Look Up : Déni cosmique|''Don't Look Up'']]<ref name=":2"/>{{,}}<ref>{{Lien web |auteur=[[Daniel Schneidermann]] |titre=Rire de l'apocalypse : la caricature, c'est nous ! |url=https://www.arretsurimages.net/chroniques/le-matinaute/rire-de-lapocalypse-la-caricature-cest-nous |accès url=libre |site=[[Arrêt sur images]] |date=06 janvier 2022 |consulté le=2022-01-10}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |auteur=Hugo Mallais |titre=Don't Look Up (Netflix) : cette scène caricaturale a réellement eu lieu à la télévision française… |url=https://www.programme-television.org/news-tv/Don-t-Look-Up-Netflix-cette-scene-caricaturale-a-reellement-eu-lieu-a-la-television-francaise-VIDEO-4681720 |accès url=libre |site=[[Télé 7 Jours]] |date=06/01/2022 |consulté le=2022-01-10}}.</ref>.
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Elle rejoint le site d'information de [[Denis Robert]], ''[[Blast (web TV)|Blast]]'', à sa création en 2021<ref name=":2"/>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Adrien |nom=Franque |titre=«Blast», contre-média ou média des contres ? |url=https://www.liberation.fr/economie/medias/blast-contre-media-ou-media-des-contres-20210516_SR6DAGIFSJF2BPMD36UUJQVNG4/ |accès url=inscription |site=[[Libération (journal)|Libération]] |date=16 mai 2021 |consulté le=2022-01-10}}.</ref>. Elle est à ce titre intervenante dans des magazines politiques comme ''[[Ça vous regarde (émission de télévision, 2009)|Ça vous regarde]]'' sur [[LCP (chaîne de télévision)|LCP]] ou l'émission ''[[28 minutes]]'' sur [[Arte]]<ref name=":0" />. Une de ses chroniques d'octobre 2021 exaltant à lutter contre le [[réchauffement climatique]], et qu'elle relaie après la sortie du film [[Don't Look Up : Déni cosmique|''Don't Look Up'']] fait le buzz du fait qu'elle rappelle à certains internautes la scène du plateau de télévision<ref name=":2"/>{{,}}<ref>{{Lien web |auteur=[[Daniel Schneidermann]] |titre=Rire de l'apocalypse : la caricature, c'est nous ! |url=https://www.arretsurimages.net/chroniques/le-matinaute/rire-de-lapocalypse-la-caricature-cest-nous |accès url=libre |site=[[Arrêt sur images]] |date=06 janvier 2022 |consulté le=2022-01-10}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |auteur=Hugo Mallais |titre=Don't Look Up (Netflix) : cette scène caricaturale a réellement eu lieu à la télévision française… |url=https://www.programme-television.org/news-tv/Don-t-Look-Up-Netflix-cette-scene-caricaturale-a-reellement-eu-lieu-a-la-television-francaise-VIDEO-4681720 |accès url=libre |site=[[Télé 7 Jours]] |date=06/01/2022 |consulté le=2022-01-10}}.</ref>.  
  
 
== Références ==
 
== Références ==

Version du 17 février 2022 à 07:02

Modèle:Infobox Journaliste Salomé Saqué, née en 1995, est une journaliste française.

Jeunesse et formation

Fille d'un professeur d'histoire et d'une mère institutrice, Salomé Saqué grandit en Ardèche[1],[2]. Elle est interne au lycée à Aubenas[2].

Se découvrant une passion pour le théâtre à l'adolescence, elle prend notamment des cours au conservatoire de Lyon et joue dans différences pièces[2].

Après le bac, elle réalise une classe préparatoire aux grandes écoles littéraire au lycée Édouard-Herriot, à Lyon, mais décide ensuite de se réorienter à l'université, dans une double licence de sciences politiques-anglais[2]. Elle participe ensuite à un Erasmus en Espagne, à l'université Complutense de Madrid[2].

Elle est titulaire d'un Master 2 en droit international et d'un diplôme en journalisme, soit l'équivalent d'un « Bac + 6 »[2],[3].

Carrière

Elle commence à travailler pour Le Monde diplomatique ainsi qu'à France 24 pendant trois ans[2],[3].

Très active sur les réseaux sociaux, elle acquiert en notoriété grâce à sa couverture pour le média en ligne Le vent se lève du mouvement des Gilets jaunes, ainsi qu'en tant que correspondante pour une chaîne de télévision australienne[2],[4]. Pour Le Monde, son succès est ainsi notamment dû à sa volonté de capter l'attention sur les réseaux sociaux[2]. Elle témoigne en revanche sur le harcèlement dont elle est victime en ligne, en raison de ses prises de position mais surtout parce qu'elle est une femme[2],[5]. Toujours selon Le Monde, elle se définit comme une journaliste engagée mais non comme une journaliste militante[2].

Elle rejoint le site d'information de Denis Robert, Blast, à sa création en 2021[2],[6]. Elle est à ce titre intervenante dans des magazines politiques comme Ça vous regarde sur LCP ou l'émission 28 minutes sur Arte[1]. Une de ses chroniques d'octobre 2021 exaltant à lutter contre le réchauffement climatique, et qu'elle relaie après la sortie du film Don't Look Up fait le buzz du fait qu'elle rappelle à certains internautes la scène du plateau de télévision[2],[7],[8].

Références

Modèle:Références

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  1. 1,0 et 1,1 Alexandra Klinnik, « Salomé Saqué, 26 ans, une journaliste avec du peps dedans », sur Télérama, (consulté le 10 janvier 2022).
  2. 2,00, 2,01, 2,02, 2,03, 2,04, 2,05, 2,06, 2,07, 2,08, 2,09, 2,10, 2,11 et 2,12 Jessica Gourdon et Marine Miller, « Salomé Saqué, une météorite à la télévision », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne).
  3. 3,0 et 3,1 « Les articles de Salomé Saqué », sur Blast (consulté le 10 janvier 2022).
  4. Florence Tredez, « Audiovisuel : quatre femmes d'avenir », sur Elle, (consulté le 10 janvier 2022).
  5. Elsa Gambin, « "L’insulte trouve toujours son chemin" : les militantes féministes auront-elles un jour la paix en ligne ? », sur Marie Claire, (consulté le 26 janvier 2022).
  6. Adrien Franque, «Blast», contre-média ou média des contres ?, sur Libération, (consulté le 10 janvier 2022).
  7. Daniel Schneidermann, « Rire de l'apocalypse : la caricature, c'est nous ! », sur Arrêt sur images, (consulté le 10 janvier 2022).
  8. Hugo Mallais, « Don't Look Up (Netflix) : cette scène caricaturale a réellement eu lieu à la télévision française… », sur Télé 7 Jours, (consulté le 10 janvier 2022).