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De Lagny-sur-Marne Wiki
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Cette page recense toutes les anecdotes concernant la ville :


Antoine de Saint-Exupéry

Antoine de Saint-Exupéry en 1933

L'ouvrage Terre de Hommes, écrit par Antoine de Saint-Exupéry en 1939, obtient le grand prix du roman de l'Académie française et le National Book Award aux États Unis.

Malgré ces récompenses prestigieuses, Saint-Exupéry considère que la plus belle est le cadeau fait par les ouvriers de l'imprimerie Grévin de Lagny-sur-Marne qui lui offrirent, l'exemplaire unique de ce livre imprimé sur toile d'avion[1].

« Unité Indivisible de la République Liberté Égalité Fraternité ou la Mort »

Plaque révolutionnaire

Côté place de la fontaine, sur le fronton de l'entrée fortifiée de l'ancienne abbaye, (aujourd'hui hôtel de ville) se trouve l'inscription suivante : « Unité Indivisible de la République Liberté Égalité Fraternité ou la Mort ». Celle-ci date de la Révolution, réalisée en 1793 à l'occasion de la fête de « l'Unité et de l'Indivisibilité de la République ».

C'est la commune de Paris qui impose d'inscrire cette phrase sur la façade de tous les hôtels de ville, les édifices publics et aussi sur les monuments aux morts.

Dans un premier temps, il est demandé de supprimer la dernière partie de la formule qui est associée à la Terreur, puis considérée comme symbole révolutionnaire, cette devise ne passera pas la période de l'Empire[2].

En 1880, la devise est modifiée et devient «Liberté Égalité Fraternité». Elle figure dans les constitutions de 1946 et 1958.

Victor Hugo

Cosette

Victor Hugo, dans son ouvrage Les Misérables, fait mention de la ville de Lagny lorsque Boulatruelle, employé par l'administration en qualité de cantonnier, rencontre Cosette le soir de Noël 1823.... [3].

Foudre

Foudre

Dans son ouvrage datant de 1869, Jean Rambosson parle du phénomène de la foudre et cite Lagny en ces termes :

« La foudre étant tombée, le 18 juillet 1689, sur l’église de Saint-Sauveur à Lagny, elle imprima en un instant, sur la nappe de l’autel, les paroles de la consécration qui se trouvaient sur le canon, à commencer de celles-ci : Qui pridie quam pateretur, etc., jusqu’à ces autres inclusivement : Hæc quotiescumque feceritis, in mei memoriam facietis ; n’ayant omis que les paroles que l’on a l’habitude d’écrire en caractères plus saillants que les autres, et qui étaient en lettres rouges sur le carton[4]. »

Esprit

En 1330, la chronique de Metz relate l'histoire de l’âme d'une femme morte, qui revint plusieurs fois, pour dire, entres autres, des messes pour les âmes afin de les délivrer des tourments du purgatoire. Ces messes aurait été données devant une assemblée de plusieurs personnes et de sa famille [5].

Références