Camille de Neufville de Villeroy : Différence entre versions

De Lagny-sur-Marne Wiki
Aller à : navigation, rechercher
(Camille de Neuville est un cas unique dans l'histoire du Lyonnais, homme de foi et de raison, il s'attacha pendant près de quarante ans à favoriser la paix spirituelle et temporelle de son diocèse.)
 
m (quelque liens)
Ligne 1 : Ligne 1 :
Archevêque de Lyon, et primat des Gaules de 1653 à 1693, de la famille des Villeroy, protectrice de la ville de Lyon. En l'absence de son frère, Nicolas de Neuville, gouverneur de la province du Lyonnais, il utilisa sa charge de lieutenant général pour étendre la réforme catholique issue du concile de Trente.  Il s'appuyait sur des méthodes d'inspiration borroméenne. Il visita méthodiquement son diocèse, soutint l'implantation d'ordres et de congrégations religieuses : jésuites, visitandines, oratoriens, lazaristes... Il restaura la discipline dans le clergé régulier et séculier.
+
[[Archevêque]] de [[Lyon]], et primat des Gaules de [[1653]] à [[1693]], de la famille des [[Villeroy]], protectrice de la ville de Lyon. En l'absence de son frère, [[Nicolas de Neuville]], gouverneur de la province du Lyonnais, il utilisa sa charge de lieutenant général pour étendre la réforme catholique issue du [[concile de Trente]].  Il s'appuyait sur des méthodes d'inspiration borroméenne. Il visita méthodiquement son [[diocèse]], soutint l'implantation d'ordres et de congrégations religieuses : [[jésuite]]s, [[visitandine]]s, [[oratorien]]s, [[lazariste]]s... Il restaura la discipline dans le clergé régulier et séculier.
En 1685, Il favorisa même la fuite des protestants Lyonnais, avec qui il entretenait des relations cordiales.  
+
En [[1685]], Il favorisa même la fuite des protestants Lyonnais, avec qui il entretenait des relations cordiales.  
  
 
Y. Moreau
 
Y. Moreau

Version du 3 juillet 2004 à 19:44

Archevêque de Lyon, et primat des Gaules de 1653 à 1693, de la famille des Villeroy, protectrice de la ville de Lyon. En l'absence de son frère, Nicolas de Neuville, gouverneur de la province du Lyonnais, il utilisa sa charge de lieutenant général pour étendre la réforme catholique issue du concile de Trente. Il s'appuyait sur des méthodes d'inspiration borroméenne. Il visita méthodiquement son diocèse, soutint l'implantation d'ordres et de congrégations religieuses : jésuites, visitandines, oratoriens, lazaristes... Il restaura la discipline dans le clergé régulier et séculier. En 1685, Il favorisa même la fuite des protestants Lyonnais, avec qui il entretenait des relations cordiales.

Y. Moreau