Anches Neuranter Glotin : Différence entre versions
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(1945-2005) |passage=3 |périodique=Ézanville infos|date=octobre 2016|numéro=108 |urlhttps://www.ezanville.fr/sites/default/files/EZANVILLE_INFOS_oct%25202016_BAT_BD.pdf|format=pdf}}.</ref>. La maison exploite ses propres roseaux de Provence ([[arundo donax]]) qui proviennent de [[Fréjus]] dans le Var d'une plantation historique déjà utilisée par l'ancienne maison SERF (famille Biosotto). Elle exporte ses produits dans plus soixante dix pays<ref name=ezan />. | (1945-2005) |passage=3 |périodique=Ézanville infos|date=octobre 2016|numéro=108 |urlhttps://www.ezanville.fr/sites/default/files/EZANVILLE_INFOS_oct%25202016_BAT_BD.pdf|format=pdf}}.</ref>. La maison exploite ses propres roseaux de Provence ([[arundo donax]]) qui proviennent de [[Fréjus]] dans le Var d'une plantation historique déjà utilisée par l'ancienne maison SERF (famille Biosotto). Elle exporte ses produits dans plus soixante dix pays<ref name=ezan />. | ||
| − | En 1976, Albert Glotin rachète la maison Chèdeville-Lelandais, spécialiste de la facture de tampons, installée à [[Ivry-la-Bataille]] et la déménage à Écouen-Ézanville<ref>{{Lien web |langue=fr |titre =Au rythme des mains de fée |date=27/10/2017 |auteur=Julie Clessienne |url=https://www.lemondedesartisans.fr/actualites/au-rythme-des-mains-de-fée |site=lemondedesartisans.fr |consulté le=7 septembre 2022}}.</ref>. L'entreprise est rebaptisé Glotin-Chèdeville-Lelandais<ref name=histo />. | + | En 1976, Albert Glotin rachète la maison Chèdeville-Lelandais, spécialiste de la facture de [[Tampon pour clarinette|tampons]], installée à [[Ivry-la-Bataille]] et la déménage à Écouen-Ézanville<ref>{{Lien web |langue=fr |titre =Au rythme des mains de fée |date=27/10/2017 |auteur=Julie Clessienne |url=https://www.lemondedesartisans.fr/actualites/au-rythme-des-mains-de-fée |site=lemondedesartisans.fr |consulté le=7 septembre 2022}}.</ref>. L'entreprise est rebaptisé Glotin-Chèdeville-Lelandais<ref name=histo />. |
L'activité anches de la maison Glotin a été rachetée en 2005 par la maison Neuranter et a été transféré à [[Lagny-sur-Marne]]. La manufacture s'est spécialisée dans les anches doubles et leurs accessoires et a pris le nom de société « anches Neuranter Glotin ». Glotin est devenue une [[marque déposée]]. L'activité de fabrication de tampons est reprise par M. Ryckeböer, son ancien comptable et garde le nom de Chèdeville-Lelandais<ref name=histo>{{Lien web |langue=fr |url=https://chedeville-lelandais.com/historique/ |titre=Historique de Chèdeville-Lelandais |site=Chèdeville-Lelandais.com |consulté le=7 septembre 2022}}.</ref>. | L'activité anches de la maison Glotin a été rachetée en 2005 par la maison Neuranter et a été transféré à [[Lagny-sur-Marne]]. La manufacture s'est spécialisée dans les anches doubles et leurs accessoires et a pris le nom de société « anches Neuranter Glotin ». Glotin est devenue une [[marque déposée]]. L'activité de fabrication de tampons est reprise par M. Ryckeböer, son ancien comptable et garde le nom de Chèdeville-Lelandais<ref name=histo>{{Lien web |langue=fr |url=https://chedeville-lelandais.com/historique/ |titre=Historique de Chèdeville-Lelandais |site=Chèdeville-Lelandais.com |consulté le=7 septembre 2022}}.</ref>. | ||
Version du 7 septembre 2022 à 06:06
Pour les articles homonymes, voir Glotin.Modèle:Infobox Société À son origine, la maison Glotin est une manufacture d'anches simples et doubles pour les différentes bois fondée par Albert Glotin en 1945 installée à Ezanville[1]. La maison exploite ses propres roseaux de Provence (arundo donax) qui proviennent de Fréjus dans le Var d'une plantation historique déjà utilisée par l'ancienne maison SERF (famille Biosotto). Elle exporte ses produits dans plus soixante dix pays[1].
En 1976, Albert Glotin rachète la maison Chèdeville-Lelandais, spécialiste de la facture de tampons, installée à Ivry-la-Bataille et la déménage à Écouen-Ézanville[2]. L'entreprise est rebaptisé Glotin-Chèdeville-Lelandais[3].
L'activité anches de la maison Glotin a été rachetée en 2005 par la maison Neuranter et a été transféré à Lagny-sur-Marne. La manufacture s'est spécialisée dans les anches doubles et leurs accessoires et a pris le nom de société « anches Neuranter Glotin ». Glotin est devenue une marque déposée. L'activité de fabrication de tampons est reprise par M. Ryckeböer, son ancien comptable et garde le nom de Chèdeville-Lelandais[3].
Le roseau Glotin est en général de force moyenne. Le roseau Glotin est riche en veines.
Durant quinze ans, le clarinettiste Jacques Lancelot a été testeur d'anches pour la maison Glotin[4].
Prix
- 2001 : Prix artisanat décerné par le secrétariat d'état au PME, au Commerce à l'artisanat et à la consommation[5] ;
- 2003 : Prix de la meilleure performance à l'exportation décerné par le Conseil général 77.
Produits actuels
- Anche pour instruments à anche double
- basson, Fagott, contrebasson, hautbois, cor anglais, hautbois d'amour...
- roseaux en canon
- anche gougée
- anche double complète et montée dans différentes tailles : coupe française, coupe américaine...
- Accessoires
- couteau pour gratter les anches, fil laiton, lime pour anche, mandrin pour monter les anches, étui à anche, tube en laiton ou en maillechort brasé à l'argent pour monter les anches...
Anciens produits
- Anches simples
- Clarinettes
- Saxophones
Notes et références
Liens externes
Erreur Lua dans Module:Catégorisation_badges à la ligne 154 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).Erreur Lua dans package.lua à la ligne 80 : module 'Module:Wikidata' not found.- ↑ 1,0 et 1,1 « Manufacture d'anches Albert Glotin (1945-2005) », Ézanville infos, no 108, , p. 3.
- ↑ Julie Clessienne, « Au rythme des mains de fée », sur lemondedesartisans.fr, (consulté le 7 septembre 2022).
- ↑ 3,0 et 3,1 « Historique de Chèdeville-Lelandais », sur Chèdeville-Lelandais.com (consulté le 7 septembre 2022).
- ↑ « Il était une fois : Jacques Lancelot (1920-2009) », En quelques notes…, APEC-CRR de PARIS, avril-mai 2009, p. 14 (lire en ligne [PDF]).
- ↑ Marne et Gondoire - Les métiers d’art, Communauté d’agglomération de Marne et Gondoire, , 44 p. (lire en ligne [PDF]), p. 12.
