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Il s'installe ensuite à Gagny. Ses peintures sont principalement des natures mortes<ref>[https://www.alfred-edouard-tourillon.com/natures-morte?lang=fr ''Natures mortes'']</ref>. Une de ses œuvres ''les Artichauts'' se verra récompensée d'une ''mention'' décernée par "Le Salon des Artistes français" de Paris en 1899<ref>[https://digi.ub.uni-heidelberg.de/diglit/cac1899/0204, ''La chronique des arts et de la curiosité — 1899'', page 184]</ref> , mais peint également des scènes de vie et des animaux<ref>[https://www.alfred-edouard-tourillon.com/animaux-paysages?lang=fr ''Scènes de vie et des animaux'']</ref> .
 
Il s'installe ensuite à Gagny. Ses peintures sont principalement des natures mortes<ref>[https://www.alfred-edouard-tourillon.com/natures-morte?lang=fr ''Natures mortes'']</ref>. Une de ses œuvres ''les Artichauts'' se verra récompensée d'une ''mention'' décernée par "Le Salon des Artistes français" de Paris en 1899<ref>[https://digi.ub.uni-heidelberg.de/diglit/cac1899/0204, ''La chronique des arts et de la curiosité — 1899'', page 184]</ref> , mais peint également des scènes de vie et des animaux<ref>[https://www.alfred-edouard-tourillon.com/animaux-paysages?lang=fr ''Scènes de vie et des animaux'']</ref> .
  
Adolphe Retté, chroniqueur du ''Le Rappel'', le décrit ainsi en septembre 1899, à l'occasion de la première exposition régionale des Beaux-Arts de Lagny<ref>''Autour des Néo-Impressioistes, le groupe de Lagny'', Noël Coret, 1999, page 123</ref>: {{citation bloc|''Ce jeune homme ira loin'' vante ''la maîtrise de ces toiles où s'harmonisent les teintes fondues de végétaux soigneusement choisis'' et va jusqu'à le comparer à [[WP:Jean Siméon Chardin|Chardin]]}}  
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Adolphe Retté, chroniqueur du ''Le Rappel'', le décrit ainsi en septembre 1899, à l'occasion de la première exposition régionale des Beaux-Arts de Lagny<ref>''Autour des Néo-Impressionnistes, le groupe de Lagny'', Noël Coret, 1999, page 123</ref>: {{citation bloc|''Ce jeune homme ira loin'' vante ''la maîtrise de ces toiles où s'harmonisent les teintes fondues de végétaux soigneusement choisis'' et va jusqu'à le comparer à [[WP:Jean Siméon Chardin|Chardin]]}}  
  
 
== Références ==
 
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* [https://www.alfred-edouard-tourillon.com/lartiste?lang=fr ''Association "Les Amis d’Alfred Tourillon"'']
 
* [https://www.alfred-edouard-tourillon.com/lartiste?lang=fr ''Association "Les Amis d’Alfred Tourillon"'']
 
* [https://www.facebook.com/Alfred-Edouard-Tourillon-1899131140399303/ Facebook consacré à ''Alfred Tourillon'']
 
* [https://www.facebook.com/Alfred-Edouard-Tourillon-1899131140399303/ Facebook consacré à ''Alfred Tourillon'']
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* [https://doi.org/10.1093/benz/9780199773787.article.B00184509 ''Alfred Tourillon'' sur le Benezit]

Version actuelle datée du 10 janvier 2021 à 14:36

Alfred Tourillon
Naissance
Livry (Seine et Oise)
Décès (à 70 ans)
Profession
Peintre

Alfred Tourillon, né le 9 septembre 1871 à Livry et mort le 9 février 1942, est un peintre, lié au mouvement néo-impressionnisme.

Biographie

Alfred Tourillon sera un élève du peintre Denis Bergeret, dont l'atelier se trouve à Lagny. Il s'y installe à son tour au 17 rue Jacques Le Paire, et participera aux salons des artistes en 1896, puis de 1898 à 1901, où ses œuvres seront remarquées. Il sera présent aux expositions organisées par l'Union artistique et littéraire du canton de Lagny, de 1899 à 1904, dont il est membre du comité d'organisation.

Il fréquente les peintre du Groupe de Lagny sans pour autant adhérer à leur approche avant-gardiste, Il entretient des relations avec Léo Gausson et André Cortès.

Il s'installe ensuite à Gagny. Ses peintures sont principalement des natures mortes[1]. Une de ses œuvres les Artichauts se verra récompensée d'une mention décernée par "Le Salon des Artistes français" de Paris en 1899[2] , mais peint également des scènes de vie et des animaux[3] .

Adolphe Retté, chroniqueur du Le Rappel, le décrit ainsi en septembre 1899, à l'occasion de la première exposition régionale des Beaux-Arts de Lagny[4]:

« Ce jeune homme ira loin vante la maîtrise de ces toiles où s'harmonisent les teintes fondues de végétaux soigneusement choisis et va jusqu'à le comparer à Chardin »

Références

  1. Natures mortes
  2. La chronique des arts et de la curiosité — 1899, page 184
  3. Scènes de vie et des animaux
  4. Autour des Néo-Impressionnistes, le groupe de Lagny, Noël Coret, 1999, page 123

Liens externes